Libres propos. Un autre cosmos?
Par
Mario Cosentino Avril 2012
Mario
Cosentino nous propose de publier le texte ci-dessous,
que lui inspire la parution de l'ouvrage « Un
autre cosmos? » . Nous l'éditons ici dans
le format retenu par l'auteur.
Cet ouvrage lui parait conforter ses propres hypothèses
cosmologiques sur ce qu'il appelle "Le new Big
Bang". .
Un
autre cosmos? Présentation de l'éditeur
L'univers est-il né d'un big bang ? La plupart
des cosmologistes et astrophysiciens l'affirment. Ils
précisent même que l'univers est apparu
il y a 13,7 milliards d'années et qu'il est maintenant
entré dans une phase d'expansion accélérée.
Pourtant, il existe bel et bien d'autres scénarios
sur l'histoire du cosmos.
Pour illustrer cette part d'indétermination de
la cosmologie moderne, les auteurs de ce livre ont entrepris
de présenter, d'une manière accessible
aux non-spécialistes, ces alternatives au modèle
standard du big bang. Les lecteurs découvriront
ainsi que, sur un plan scientifique, plusieurs conceptions
de l'univers sont de nos jours envisageables. De quoi
relancer de fascinantes interrogations sur le cosmos.
Notes
sur les auteurs
Thomas Lepeltier est historien et philosophe des sciences,
chargé de cours à l'Université
d'Oxford (Royaume-Uni), et auteur d'Univers parallèles
(Seuil, 2010). Jean-Marc Bonnet-Bidaud est astrophysicien
au Commissariat à l'Energie atomique (CEA de
Saclay, France). Il a contribué à l'ouvrage
Le big bang n'est pas une théorie comme les autres
(La Ville brûle, 2009). Autres auteurs : Stéphane
Fay (Palais de la découverte, Paris) ; Jayant
Narlikar (Inter-University Centre for Astronomy and
Astrophysics, Pune, Inde) ; Ludwik Celnikier (Observatoire
de Meudon) ; Robert Brandenberger (McGill University,
Canada).
On notera que Thomas Lepeltier est aussi l'auteur des
ouvrages "Vive le créationnisme ! Point
de vue d'un évolutionniste" et "Darwin
hérétique : L'éternel retour du
créationnisme" dont les titres résument
bien le contenu.
Nous
laissons à Mario Cosentino la responsabilité
de ses propos, comme d'ailleurs nous laissons aux auteurs
de "Un autre cosmos?" la responsabilité
des leurs. Ce dernier livre nous parait rassembler sans
grande rigueur des affirmations apparemment scientifiques
et des points de vue qu'au mieux l'on pourrait qualifier
de littéraires. Automates Intelligents 20 avril
2012
AU
SUJET DU LIVRE «UN AUTRE COSMOS? [1]»
UNE
VERITABLE REVOLUTION COSMOLOGIQUE EN MARCHE!
Enfin!
voilà un livre qui ose jeter « un gros
pavé dans la mare » de la cosmologie dominante!
Personnellement, dans le cadre de mes hypothèses
contenues dans le modèle cosmologique du «
New Big-Bang Fractal » ( « NBBF »
) cela fait quelques 25 ans que j'attends ce genre d'ouvrage.
Je peux dire que, pour moi, c'est la première
fois que 7 auteurs, et pas des moindres, remettent en
cause le modèle cosmologique standard. Le contenu
de ce livre est une véritable révolution
car
«C'est
toute l'image du cosmos issue du modèle standard
qui s'en trouve ébranlée» (page
99).
Mais
cet ouvrage va plus loin. Non seulement il « ébranle
» le modèle dominant mais il a le mérite
de construire ou de proposer « un autre cosmos
» !
Ce
livre est une véritable révolution car
à de nombreuses reprises il n'exclue pas la possibilité
que notre cosmos puisse être statique est non
en expansion accélérée ( pages
25, 40, 44, 92, 117, 118, 143...) ! Ici le mot statique
n'est pas à confondre avec celui des modèles
d'Univers stationnaire.
Citons
également un autre livre, celui de l'astrophysicien
Christian Magnan qui lui aussi jette « un autre
pavé dans la mare » [ 2 ].
UNE
SYNTHESE FORTE ETONNANTE QUI CONFORTE LE « NBBF
» [3], [4]!
Lorsqu'on
fait une synthèse du livre « Un autre cosmos
? » on constate une chose étonnante : globalement
elle est très proche de la synthèse des
hypothèses contenues dans le modèle cosmologique
du « NBBF » que je défend depuis
presque un quart de siècle !
Donc
ce livre vu qu'il conforte les hypothèses du
« NBBF » il me sert aujourd'hui de «
tremplin » pour justifier ce modèle cosmologique,
au moins, comme modèle d'Univers alternatif.
Vu que le modèle d'Univers dominant devient énigmatique
et de plus en plus compliqué il ne faut exclure
aucune explication alternative. Nous constatons de plus
en plus que la cosmologie dominante est dans une véritable
impasse. L'évidence de cette situation s'était
surtout aggravé depuis que le télescope
spatial Hubble avait commence à fournir les images
de champs profonds de galaxies. Aujourd'hui nous observons
des étoiles, des galaxies, des planètes
et notre Galaxies presque aussi vieilles que l'âge
de notre Univers!... Il semble que bientôt on
va observer des amas de galaxies presque « collées
» au Big-Bang...
Mais
où résiderait le vrai problème
?
Il semble que le véritable problème ne
réside pas dans le Big-Bang lui-même mais
dans la croyance que notre Univers est encore en expansion.
De plus en plus nous observons qu'un âge de seulement
quelques 13,7 milliards d'années ne semble pas
suffisant pour mettre en place une belle galaxie et
encore pire les grandes murailles de galaxies. L' Univers
semble manquer cruellement du « crédit
du temps »... Cela est reconnu par les astrophysiciens.
Par exemple nous lisons :
«
Reste une question subsidiaire : comment se sont formées
ces immenses structures ? Et comment se sont formées
les galaxies elles-même ? (
) En revanche,
ils échouent à prévoir celui des
amas de galaxies. Sur ces grandes distances, l'expansion
de l'Univers, qui éloigne les premiers germes
formés les uns des autres, s'oppose à
la condensation. Le calcul montre qu'il faudrait un
temps très long pour, que la soupe homogène,
se dégagent les somptueuses galaxies que nous
observons aujourd'hui. D'ailleurs, lorsque l'on regarde
aussi loin qu'il est possible, et donc que l'on observe
des objets qui ont émis leur lumière depuis
longtemps, on constate que de très vieilles galaxies
existent [5] ». ---C'est moi qui souligne.
Alors
pour trouver une explication aux gigantesques structures
de l'univers on essaye de sauver une hypothèse
par une autre hypothèse à la manière
des « épicycles sur des épicycles
à la Ptolémée » qui nous
à fait perdre quelques 1500 ans !
Alors ne perdons plus du temps et l'argent des contribuables
et essayons de proposer « un autre cosmos »
par une synthèse des modèles cosmologiques
actuels car je reste persuadé qu'il y a du vrai
, en partie, dans tous ces modèles d'Univers.
LES
POINTS FORTS DE CETTE SYNTHESE
La
synthèse des points forts de ce livre rejoint,
comme nous l'avons constaté, de façon
surprenante la synthèse que j'ai publié
au cours de mes 25 années de recherche et contenue
dans mon tome 2 (2001) [3] ainsi que dans mes Mémoires
Académiques et articles dans les différentes
revues publiées au cours de ces 25 années.
Donc ce livre vu qu'il conforte mes hypothèses
de travail il me sert aujourd'hui de « tremplin
» pour accréditer mon modèle d'Univers
du « NBBF ».
Voici
les points forts qui rejoignent, de façon très
proche, étonnamment la synthèse du «NBBF»:
1-
une répartition de la matière inhomogène
(pages 35, 36 et 107) :
«
Un « « Grand Mur » découvert
en 1989, qui est formé d'un ensemble de galaxies
de plus de cinq cents millions d'années-lumière
de long, deux cents millions de large et quinze millions
d'épaisseur. A l'opposé, on trouve également
des vides, tel celui dans la constellation du Capricorne
avec un diamètre de deux cent trente millions
d'années-lumière. »
Selon les équations du modèle cosmologique
du « NBBF » la gravitation, dans cet Univers
inhomogène, ne joue qu'un rôle secondaire
( ou local ). Les équations du «NBBF»
décrivent plutôt un Univers globalement
quantique et fractal.
2- la répartition de la matière en «éponge»
(page 36) :
Dans
le cadre du « NBBF » la valeur de la dimension
fractale D, valeur intrinsèque du vide quantique,
serait celle qui correspond à l' « éponge
de Menger-Sierpinski » avec D = 2, 726 8 . Cette
dimension fractale est extrêmement proche de la
température de notre Univers qui, comme nous
le savons, est de 2,726 K! Selon le « NBBF »
l'expansion de l'Univers aurait durée 18 milliards
d'années. Cette phase de dilatation elle se serait
faite par de nombreux « sauts quantifiés
». Après cette phase d'expansion quantifiée
notre Univers serait devenu complètement statique
parce qu'il serait devenu globalement fractal . Cette
hypothèse est une extrapolation qui repose sur
un certain nombre d'expériences menées
sur des surfaces fractales à l' École
Polytechnique ( Paris ) . De ce fait cette hypothèse
est bien davantage qu'une simple hypothèse !
Un Univers qui deviendrait statique dès qu'il
serait devenu globalement fractal . La propriété
fractale STOPPERAIT son expansion . La valeur fractale
proposée par le « NBBF » est de D
= 2, 726 8 qui est le volume fractal de l' « éponge
de Menger-Sierpinski ». Sur cette propriété
fractale de notre Univers que disent les observations
? :
-
plus on regarde loin, dans l'Univers, plus la dimension
fractale D = 2,726 8 est compatible avec les observations.
Il est intéressant de constater qu'un Univers
qui serait fractal aurait les propriétés
suivantes:
-les structures fractales entraînent la «
stabilité ».
-les structures self-similaires peuvent s'interpréter
comme des lois universelles.
-un Univers qui aurait une température constante
favoriserait l'apparition de la dimension fractale.
Pour plus d'information concernant ces propriétés
voir l'article de LA RECHERCHE N°313 10/
1998 : « la gravitation façonne l'univers
en fractals ».
Voir
également : « Des fractales dans le vent
solaire!» observées tous les 11 ans par
Sandra Chapman et al. De l'Université de Warwick
( pour avoir accès rapidement à cette
référence allez dans Futura Sciences et
mettre: « Des fractales dans le vent solaire!
».
3- sur l'existence de 2 Univers ( page 91 ) :
Il
n'est pas exclu que notre Galaxie ou notre Univers communique
avec ce second Univers ( voir les travaux de recherche
de l'équipe du physicien Michael Sarrazin , Université
de Namur, où ces chercheurs « estiment
que le processus s'est déjà produit sans
avoir été observé lors de certaines
expériences ». Pour plus de renseignement
à ce sujet lire l'article paru dans Automates
Intelligents du 28 janvier 2012 de Jean-Paul Baquiast
et Christophe Jacquemin sous le titre :
«
Notre galaxie pourrait communiquer avec d'autres univers
»
Dans
le modèle du « NBBF » on aurait deux
Univers très éloignés l'un de l'autre,
le premier constitué de matière et le
second d'antimatière... Le « NBBF »
répond donc à la question : « où
est donc passée l'antimatière ?»
4-
««l'existence de points chauds et froids
opposés sur le ciel, définissant un axe
privilégié, baptisé « l'axe
du diable » par l'astrophysicien Joao Magueijo
»» (page 93) :
Cet axe est prévu dans l'Univers sphérique
du « NBBF » car dans ce modèle le
cosmos tournerait, très lentement autour de cet
« axe ». D'ailleurs, en Novembre 1997, la
revue Sciences et Avenir, Le Figaro, etc, m'ont appelé
« le père de l'axe de l'Univers »
( Sciences et Avenir N°609, Novembre 1997).
5-
la mise en doute de l'expansion de l'Univers (page 25,
39) :
(
) Dans ce cas, ce dernier ne serait pas en expansion
mais statique. » (page 44, 92, 117, 118 et 143).
-C'est moi qui souligne.
Officiellement c'est depuis mars 1990 que je soutiens
l'hypothèse que notre Univers ne serait plus
en expansion (voir mon Mémoire déposé
à l' Institut de France Académie des Sciences
de Paris, accepté en sa séance du 19 mars
1990 ainsi que mon tome 1 référence [4]
). Dans cette hypothèse depuis combien de temps
notre Univers serait-il dans cette phase complètement
statique? Selon le « NBBF » et l'observation
des très grandes structures galactiques de l'Univers
cette durée serait d'au moins 100 milliards d'années...
Petite chronologie d'un modèle d' «Univers
statique » ou «globalement statique»:
1642-1727
: Sir Isaac Newton
1915-1917 : proposition par Albert Einstein
1917 : de De Sitter
1978 : Georges Ellis ( page 40 )
1990 : Mario Cosentino ( Mémoire à l'Institut
de France Académie des Sciences de Paris )
1992 : André Assis ( page 92 )
2006 : David Crawford ( page 92 )
2006 : Thomas Buchert ( page 118 )
NB
: de tous ces modèles d' Univers statiques quel
est celui qui est le plus conforme aux observations
les plus modernes?
Avec beaucoup de modestie et d'humilité il semble,
à ma connaissance, que c'est le modèle
cosmologique du « NBBF » car à lui
seul il réuni, globalement, la synthèse
du livre « Un autre cosmos ? »
6-
le décalage z vers le rouge « à
cause d'une interaction gravitationnelle » :
Cette
interprétation est donc « une interprétation
non cinématique » (page 39) . Cette interprétation
est celle de la théorie de «la fatigue
de la lumière » d'Einstein, de l'astrophysicien
Fritz Zwicky ( le « père » de la
matière noire » ) , et bien d'autres ainsi
que celle du « NBBF ».
7-
«l' accélération (
) , pourrait
être une illusion» (page 43), 37 et 118
8-
Au sujet de la température de notre Univers dans
un Univers « sans expansion » (page 92).
«
D'autres chercheurs, comme le physicien André
Assis, ont proposé que le fond diffus correspondrait
à l'émission de la matière à
une température de 2,7 K, dans le cadre d'une
cosmologie sans expansion, où le décalage
vers le rouge est interprété comme une
«fatigue de la lumière», c'est-à-dire
une perte d'énergie de la lumière sur
son trajet 2 . » [2] André Assis, On Hubble's
law of Redshift, Olbers' Paradox and the Cosmis Background
radiation » Apeiron, 12, 10-16, 1992.
--- C'est moi qui souligne l'expression « sans
expansion ».
«
La température de l'Univers à 2,7 K comme
«rayonnement universel emplissant la totalité
de l'espace et produit aussi bien localement qu'à
de grandes distances ? » (
). La similitude
de toutes ces températures entres elles et avec
celle du fond diffus n'est peut-être pas une simple
coïncidence. (
) . Autrement dit, il semble
plutôt facile de produire partout dans l'univers
une température « universelle » de
quelques degrés au-dessus du zeéro absolu.
C'est ce raisonnement qui guida plusieurs scientifiques
pour proposer une explication alternative au 3 K . »
( pages 86, 87) :
Par
rapport à cette explication si la température
serait « universelle », « partout
dans l'univers » elle serait une propriété
intrinsèque du vide quantique.
Une température de Univers qui serait constante
signifierait qu'elle serait indépendante du temps
qui passe.
Dans ce cas là notre Univers n'aurait pas de
« mort thermique » car il s'autorégulerait
et se régénérerait pour l'éternité
!
9 - en 1964 Sir Fred Hoyle et Burbidge obtiennent un
résultat très étonnant ( page 88
) :
«
la quantité d'énergie produite par la
fusion de l'hydrogène pour produire tout l'hélium
observé dans l'univers est exactement celle contenu
dans le fond diffus. En calculant la température
de l'espace correspondant à cette énergie
ils trouvent ainsi une valeur de 2,78 K ». :
N.B.
: dans le modèle du « NBBF » la température
de l'hélium superfluide est de 2,18 K . Cet Hélium
superfluide serait le constituant de la matière
noire. Ce rayonnement lui aussi pourrait être
« dégradé » .
Ainsi vu sous cet angle là F. Hoyle et Burbidge
auraient calculé eux aussi la température
de la matière noire!?...
1O- dans cet ouvrage, à de nombreuses reprises,
il est utilisé le mot « paradigme ».
(pages 115, 134
CONCLUSION
Depuis
la sortie de ce livre je peux dire, avec modestie et
humilité, que le modèle cosmologique du
«NBBF» semble être entré dans
son « âge d'or » !
Les
informations contenues dans le livre « Un autre
cosmos ? » sont très pertinentes. J'encourage
vivement toutes les personnes qui s'intéresse
de près ou de loin à cette question, et
qui veut se mettre à jour, à prendre connaissance
de cet ouvrage car il est détaillé et
très accessible.
Au regard de ces deux synthèses, très
proches l'une de l'autre, ainsi que de mes différentes
publications, nous constatons que le modèle du
« NBBF » est un modèle cosmologique
explicatif alternatif plus que satisfaisant . Les observations
ne contredisent pas les nombreuses hypothèses
du «NBBF». Donc au regard des observations
ce modèle semble être une bonne piste de
recherche car il permet de prévoir un ensemble
de phénomènes dont certains ont été
confirmés tandis que d'autres sont en attente
d'infirmation ou de confirmation ( certains sont sur
la bonne voie) . En tout cas le modèle d'Univers
du «NBBF» semble donner une meilleure explication
de ce qu'on observe. Ce modèle est justifié
par sa cohérence interne et, comme on l'a déjà
vu, par un certains nombre de ses prévisions
qui ont été confirmées soit par
les observations soit par les expériences. S'obstiner
à ne pas en tenir compte on risque de passer
à coté de quelque chose qui pourrait être
fondamentale pour une meilleure compréhension
de notre Univers. Je reste persuadé que l'approche,
asymptotique, de la vérité ne sera jamais
dans un unique modèle d'Univers mais dans la
«synthèse des modèles cosmologique
actuels » [3]. La fédération de
tous les modèles plausibles pourra nous conduire
vers « Un autre cosmos » !
Alors,
en guise de conclusion, voulons nous vraiment «Un
autre univers ? »
Dans ce cas sommes-nous prêt à changer
de « paradigme »?...
-Pour
plus d'informations concernant mes travaux de recherche
allez dans
Google
et mettre: mario cosentino
Google et mettre: blog de mario cosentino
http://fdier.free.fr
http://lempel.net et aller dans Google et mettre: Soleil
et onde de Kotov
-dans
«Soleil et ondes de Kotov» se trouve l'équation
qui relie la température de notre Univers et
la dimension fractale de l'«éponge de Menger-Sierpinski».
Google
et mettre: automates intelligents 84
Google et mettre: automates intelligents 113
Google et mettre: automates intelligents 116
REFERENCES
[1]
« Un autre cosmos? » Sous la direction de
Thomas Lepeltier et Jean-Marc Bonnet-Bidaud, Vuibert
mars 2012, auteurs : -Jean -Marc Bonnet-Bideau
( astrophysicien)-Robert Brandenberger ( professeur
de physique )
-Thomas Buchert ( professeur de cosmologie) -Ludwik
Celnikier ( directeur de recherche au CNRS) -Stéphane
Fay (Doctorat en cosmologie) -Jayant
V. Narlikar (est professeur émérite de
cosmologie à l'Inter- University Center for Astronomy
and Astrophysics ( Pune, Inde) )
[2]
Christian Magnan : « Le théorème
du jardin », amds et Christian Magnan, Prades-le-Lez,
2011.
[3],
Mario Cosentino: «Le New Big Bang synthèse
des modèles cosmologiques actuels» , Prologue
de Bernard Milet, Astronome à l'Oservatoire de
Nice, éditions Apolline, Chiron, 2001, ISBN:
2-84556-023-0
[4]
Mario Cosentino: «Origine et destin de notre Univers
par une nouvelle Cosmologie De l'atome jusqu'aux confins
du Cosmos» Conversation avec Pierre Bourge. Bonnefoy
Imprimeur-Editeur, 1993
Références INIST ( Institut de l' Information
Scientifique et Technique ): 1/1 - ( C ) CNRS Numéro
PASCAL 93-0610460
Localisation: INIST-L 22828 . 354000035419100000
[5]
Philippe Miné : « Bizarre Big Bang »
L'épopée de la physique, Belin POUR LA
SCIENCE, 2001, page 201.
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