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Article
La détection d'un vide gigantesque
dans l'univers: encore une remise en cause du modèle
cosmologique dominant
par Mario Consentino
22/09/07
L'auteur
est licencié de sciences physiques
( Formation Universitaire en Astronomie et en Astrophysique)
Nous publions cer article
à titre d'information, sans prendre parti sur
la validité de son contenu. AI
|
Pour les équations du modèle cosmologique
du « New Big-Bang » voir le site de l'auteur
http://fdier.free.fr
INTRODUCTION
Une
découverte qui fera certainement la « Une »
dans les revues du mois d’Octobre. Etudiant la cosmologie
(qui est une des branches de l’astronomie) depuis
quelques 20 années et auteur d’un nouveau modèle
d’Univers, j’ai le plaisir de vous commenter
cette information et les conséquences graves qu’elle
présente pour le modèle d’Univers dominant.
Le but de cette information, et du présent article
dans Automates Intelligents, n’est pas de vous imposer
de nouvelles croyances, mais plutôt de vous présenter
un modèle d’Univers simple, plausible, harmonieux
, fort dans ses nombreuses prévision car elles se
sont avérée exactes et régie par les
lois quantiques les plus modernes. Ce modèle cosmologique
je l’ai nommé le « New Big-Bang ».
Nous en reparlerons un peu plus loin.
LA
DETECTION D’UN GIGANTESQUE VIDE DANS L’UNIVERS
Un
gigantesque vide, d’un milliard d’années-lumière
de large, a été détecté par
l’équipe de Lawrence Rudnick de l’Université
du Minnesota.. Cette détection n’a absolument
rien à voir avec un trou noir. Ce trou est dépourvu
de toutes étoiles, de toutes galaxies, de tout gaz
et de toute matière noire.
LA CONSEQUENCE GRAVE D’UNE TELLE OBSERVATION
POUR LE MODELE COSMOLOGIQUE DOMINANT
Pour
L. Rudnick trouver, dans l’espace, un trou aussi grand
est tout à fait inattendu. Pour les chercheurs ce
vide est beaucoup trop grand pour trouver une explication
dans le cadre de la cosmologie actuelle. Faut-il revoir
le modèle cosmologique dominant ? Ou faut-il revoir
les observations ?
En
ce qui concerne les observations il existe une forte corrélation
entre une zone froide ( plus froide de 20 à 70 mK
) de l’espace et ce manque de matière. Une
fois de plus il existe une plus forte probabilité
pour qu’il faille modifier le modèle de la
cosmologie standard. Pourquoi cette détection est-elle
si grave pour le modèle d’Univers dominant
?
Pour la raison que voici : l’édifice qu’est
la théorie dominante repose sur un des principes
qu’est l’homogénéité ou
l’isotropie de l’espace.
Dans le cas de cette découverte ce principe n’est
pas vérifié car il s’agit ici d’une
anisotropie dans la distribution des galaxies ou de la matière.
C’est toute une théorie qui se trouve déstabilisée,
qui devient donc très douteuse quant à ses
prévisions passées, présentes et futures
concernant notre Univers. Quelle explication vont aider
les cosmologistes face à ce problème? …
Cette détection d’un gigantesque vide dans
l’Univers risque d’avoir une conséquence
grave pour la théorie cosmologique expansionniste
dominante. Soit (une fois de plus) une révision du
modèle d’Univers standard, soit (une conséquence
encore plus grave) être considéré maintenant,
ou dans un proche avenir, comme un modèle erroné.
Vu le contexte actuel un changement de paradigme n’est
pas exclu...
LE « NEW BIG-BANG »
Nous
garderons les initiales « NBB ». Elles sont
là pour insister sur le fait que, selon ce modèle,
notre Univers a bien eu un commencement suivi d’une
expansion. Mais par la suite cette expansion était
programmée pour s’arrêter. Notre Univers
semble fonctionner comme fonctionne un gigantesque ordinateur
quantique avec une sorte de « programme intelligent
» où, lors de la singularité initiale,
sont mémorisées toutes ses caractéristiques
futures. Il est très important de préciser
que dans le modèle cosmologique du « NBB »
aucune place n’est faite à une quelconque philosophie.
Nous devons rester dans le cadre imposé par les lois
de la physique qui sont vérifiée ou de celles
dont nous connaissons la pertinence.
LA
THEORIE DE L’INFORMATION
Le
modèle du « NBB » repose sur la valeur
du paramètre fondamental qu’est la valeur de
la constante de structure fine a = 1/ 137, 035… .
Grâce à ce paramètre fondamental notre
Univers se comporte comme un gigantesque ordinateur quantique
dont toutes les caractéristiques sont codées
par les unités fondamentales que sont a , G, c et
h. Avec de telles paramètres on peut dire que le
« NBB » est un modèle d’Univers
scientifique car il a pour fondement des constantes naturelles.
Ce modèle cosmologique est basé sur la théorie
de l’information, en d’autres mots sur le principe
fondamental du théorème de Margolus-Levitin.
Les nombreuses équations quantiques, du « NBB
», mettent en évidence que notre Univers repose
sur l’existence d’un ordre sous-jacent basé
sur les principes de la théorie de l’information.
En effet, en 1998 la relation du physicien Heisenberg a
été insérée, ajustée,
à la physique de l’information par Norman Margolus
et Lev Levitin. Mon modèle d’Univers repose,
en grande partie, sur leur théorème avec une
incroyable précision.
L’Univers, selon Seth Lloyd, calcule « Sa propre
évolution dynamique ». Dans la revue Physical
Revue Letters il titre son article : « La capacité
calculatoire de l’Univers ». En 1967 l’Allemand
Konrad Zuse semble avoir été le premier à
émettre l’idée que notre Univers puisse
être assimilé à un calculateur. Le physicien
Stephen Wolfram, le Professeur en informatique Edward Fredkin
et le Professeur en ingénierie mécanique Seth
Lloyd sont convaincus qu’il existe une profonde relation
entre l’information et la physique.
Le modèle du « NBB » non seulement va
dans ce sens mais il va dans le sens d’une autre nouvelle
discipline qu’est l’ « émergence
».
L’EMERGENCE
OU « LE TOUT VAUT PLUS QUE LA SOMME DES PARTIES »
Deux
physiciens, prix Nobel tous deux, Philip Anderson et Robert
B. Laughlin se sont interrogés sur les phénomènes
émergents selon le point de vue de la physique. L’émergence
peut se résumé à ces quelques mots
: « le tout vaut plus que la somme des parties ».
Autrement dit un objet isolé n’a pas le même
comportement lorsqu’il est en interaction avec d’autres
objets. L’émergence apparaît lorsqu’il
y a un comportement collectif bien arrangé. Par exemple
un atome isolé a des propriétés microscopiques.
Par contre dans un comportement collectif, comme par exemple
un gaz, les nouvelles propriétés « émergentes
» seront indépendantes des propriétés
microscopiques de chaque atome. Les nouvelles propriétés
sont appelées « universelles » du fait
de leurs caractères indépendants vis à
vis des propriétés de chaque objet pris isolément.
Dans
le phénomènes de l’émergence
il existe un « paramètre d’ordre »
qui est lié à la transition de phase ou changement
d’état. Le « paramètre d’ordre
» devient indépendant des caractéristiques
des objets élémentaires lorsqu’on est
proche de la transition de phase. Le collectif prend le
dessus et on se trouve devant de nouvelles propriétés
émergentes ou « universelles ». Dans
le modèle du « NBB » le « paramètre
d’ordre » est, comme on l’a vu, le paramètre
« mésoscopique » ( entre le microcosme
et le macrocosme ) de la valeur de la constante de structure
fine a égale à a
= 1/ 137, 035…
Toutes
les propriétés de notre Univers se trouvent
inscrites ou codées dans la valeur de ce «
paramètre d’ordre ». Pour Anderson et
Laughlin le réductionnisme est trompeur car à
chaque niveau de complexité de nouvelles propriétés
apparaissent. Dans les équations de « NBB »
l’interaction collective entre G, c , h et le «
paramètre d’ordre » a fait émerger
des propriétés inattendues,surprenantes qui
caractérisent notre Univers. Ces propriétés
résultent d’un effet combinatoire. Cette synergie
de plusieurs particules vaut plus que la somme des parties.
Il devient ainsi possible de retrouver, dans la quantité
a ( considérée, en physique comme une constante
) la température de l’Univers qui est de 2,726
K , et cela sans aucun paramètre libre dans les équations.
Cette température se présente comme étant
une propriété intrinsèque du vide quantique
de notre Univers. Cette température est constante,
dans le temps, car elle est régulée par le
« paramètre d’ordre ».
Avec
une telle température constante dans le temps notre
Univers ne subira aucune mort thermique.
L’ « émergence » est évidente
en biologie. Mais doit-elle se limiter qu’à
la seule biologie ? Pourquoi ne concernerait-elle pas la
cosmologie ?
Le « NBB » accepte un Big-Bang suivi d’une
expansion de l’Univers. Ensuite après quelques
18 milliards d’années de dilatation notre Univers
stoppe son expansion et il devient complètement statique
( à ne pas confondre avec le modèle stationnaire
de Fred Hoyle ).
Cette phase statique n’est pas possible dans un modèle
d’Univers où la gravitation est dominante.
Mais cela est tout à fait possible dans un modèle
d’Univers où règnent les lois de la
mécanique quantique. Rappelons que le « NBB
» considère notre Univers comme étant
à environ à 95% quantique. Nous savons que
dans le vide quantifié il existe des phénomènes
vibratoires relativistes. En plus, selon le « NBB
», notre Univers se trouve en rotation. Ainsi avec
des vibrations relativistes du vide quantique et une vitesse
de rotation de l’Univers, ce dernier a toutes les
caractéristiques pour se maintenir en parfait équilibre
thermodynamique et mécanique.
Aujourd’hui,
selon le « NBB », cela fait maintenant quelques
80 milliards d’années que notre Univers se
trouve dans cette phase complètement statique ! Au
cours de cette très longue phase, où il n’y
a plus de dilatation de l’espace, les galaxies s’organisent
au gré de leur attraction mutuelle. Voilà
l’explication la plus simple et la plus plausible
que nous donne la théorie du « NBB »
à la détection d’une anisotropie de
l’espace !
Si l’on somme la durée de l’expansion
avec la durée de sa phase statique nous obtenons
un total d’environ 100 milliards d’années
( 18 + 80 ). L’Astrophysicien Fred Hoyle a trouvé,
lui aussi, une durée au moins de cet ordre là
(Astrophysical Journal )!
Les équations du « NBB » , pour être
plus précis, nous montrent que la singularité
a donné naissance- non pas à un Univers- mais
à deux Univers à parité opposée.
Cela sera abordé avec plus de détails dans
un article ultérieur où nous parlerons également
de la matière noire, de l’énergie noire,etc.
CETTE OBSERVATION CONSOLIDE LE MODELE DU «
NEW BIG-BANG » CAR IL L’A PREVU
De
nombreuses prévisions du « NBB » se sont
avérées justes. Depuis 1993 [ 1 ] , le modèle
cosmologique du « NBB », a prévu ce type
de détection. Voici quelques exemples de prévisions
qui sont, aujourd’hui, en accord avec les observations
les plus modernes :
1-
Prévisions n°4, page 76 : « dans le cadre
d’un univers qui n’est plus en expansion, on
pourrait observer des corps célestes ayant un âge
plus important que ne l’indiquerait leur décalage
spectral, voire un âge plus ancien que le cosmos lui-même
. » [ 1 ] -C’est moi qui souligne.
Le télescope spatial Hubble a mis en évidence
cette observation paradoxale. Selon le « NBB »,
après l’observation d’étoiles
plus vieilles que l’Univers, nous allons prochainement
observer de façon évidente des galaxies voir
des amas de galaxies encore plus âgées que
le cosmos ! Déjà on commence à avoir
des observations qui vont dans ce sens là !
L’observation
du gigantesque vide de L. Rudnick et al. confirme la prévision,
notée ici n°2, du modèle du « NBB
»
2-
Prévision page 102: « « Le problème
de la distribution spatiale des galaxies
Ce problème touche au « principe cosmologique
», soit le fait que l’on considère que
l’endroit où nous nous situons dans l’Univers,
et d’où nous observons cet Univers, n’est
pas « privilégié » -ce qui signifie,
entre autres, qu’il connaît les mêmes
conditions tant du point de vue de l’homogénéité
de la matière, que de son isotropie, donc que, à
grande échelle, la matière est distribuée
de manière a peu près identique partout dans
l’Univers. » [ 2 ] .
Page
104 : « - niveau 9 … : « les immenses
vides » ou « régions sous-denses »,
car elles ne sont jamais complètement vide. »
Page
109 : « Dans cette dernière phase, [ la phase
où l’Univers est devenu complètement
statique ] sans agrandissement de notre Univers, les galaxies
évoluent de façon propre et occupent une distribution
spatiale au gré des quatre forces fondamentales.
Pour conclure ce problème de la distribution spatiale
des galaxies dans l’Univers, distribution incompatible
avec les différents modèles cosmologiques,
je pense que ce problème persistera tant qu’on
continuera de postuler que notre Univers est toujours en
expansion.»
Pages
122 et 124 : la rotation de l’Univers contribue, en
partie, à « l’anisotropie de l’espace
».
Précisons
que d’autres chercheurs, avant mes propres travaux
, ont soutenu que l’espace est anisotrope.
Page
126 :
« -1925-1926 : Dayton C. Miller, démontre que
la célérité de la lumière subit
des variations en fonction de sa direction ;
-
1927-1928 : les expériences optiques d’Ernest
Esclangon, directeur de l’Observatoire de Strasbourg,
mettent en évidence la dissymétrie de l’espace
;
-
1950 : ses nombreux travaux persuadent Maurice Allais de
l’anisotropie de l’espace ;
-
1988 : les équations de ma théorie cosmologique
font intervenir une rotation très faible de notre
Univers, qui pourrait se traduire par une anisotropie de
l’espace.
D’autre
part, aujourd’hui, les travaux du professeur Ieronim
et de son équipe, comme ceux du professeur Zhou,
confirment les anomalies d’éclipse donnant
des résultats très positifs dans le sens d’une
anisotropie de l’espace.
Pour résumer, comme l’écrit Henry Aujard,
« il est […] certain que toutes les expériences
citées ci-dessus, sans parler de beaucoup d’autres
qui ont également donné des résultats
comparables, ont déjà permis d’apporter
beaucoup de pierres et de charpentes à l’édifice
de l’anisotropie de l’espace, dont l’existence
est maintenant bien démontrée. »
Dans toutes ces citations tirées de mes deux livres
c’est moi qui souligne.
Le
modèle du « NBB » explique que la détection
de ce gigantesque vide dans l’Univers a deux causes
: la première est sa rotation et la seconde est qu’il
n’est plus en expansion depuis au moins quelques 80
milliards d’années ! Les galaxies ont tout
le temps de s’organiser en grandes murailles ou en
gigantesques vides !
Le
modèle du « NBB » est donc en accord
avec les observations les plus actuelles et a un rapport
objectif car elle se soumet à toutes expérimentations.
CONCLUSION
Je
reste convaincu que depuis les données du télescope
spatial Hubble la cosmologie dominante est sur une mauvaise
pente.
Cela fait maintenant presque 20 ans que je tire la sonnette
d’alarme par les moyens que sont mes nombreux articles,
mes deux livres, les journaux, la radio, la télévision
et mes conférences.
Croire que notre Univers est encore aujourd’hui en
expansion constitue, selon le « NBB », le véritable
problème fondamental qui provoque et qui provoquera
le grippage du modèle cosmologique dominant. Lisons
cette citation très pertinente : « Roberto
Abraham, qui a découvert avec son équipe de
chercheurs américains et canadiens, après
un grand sondage de galaxies en 2004, que l’Univers,
moins de trois milliards d’années après
sa supposée naissance, était déjà
peuplé aux trois quarts de galaxies vieilles, elles-mêmes
constituées d’étoiles âgées
de plusieurs milliards d’années, résume
assez bien l’état d’esprit des cosmologistes
: `` Les théoriciens ne paniquent pas encore, mais
ça va finir par arriver…’’ »
[ 3 ] –C’est moi qui souligne. La cosmologie
standard doit s’attendre à d’autres problèmes
graves…
Je suis d’accord avec le physicien Lee Smolin dont
voici quelques citations tirées de son livre [ 4
]:
Page
397 : « Personne ne peut prédire avec certitude
qu’une approche mènera au progrès définitif
ou à des années de travail perdu. Tout ce
que nous pouvons faire, c’est former nos élèves
à des métiers dont l’expérience
a montré qu’ils mènent le plus souvent
à des conclusions fiables. Après avoir acquis
cette formation, nous devons les laisser libres de suivre
leur propres intuitions et nous devons leur consacrer du
temps pour les écouter quand ils nous les racontent.
Tant que la communauté crée sans cesse des
occasions pour qu’émergent des idées
et des opinions nouvelles, et tant qu’elle adhère
au postulat éthique qui exige un consensus fondé
sur l’argumentation rationnelle basée sur les
preuves universellement disponibles, la science pourra obtenir
d’éventuels succès.
Former la communauté scientifique sera une tâche
sans fin. Il sera toujours nécessaire de se battre
contre la domination de l’orthodoxie, de la mode,
de l’âge et du statut social. La tentation de
suivre un chemin facile, de s’inscrire dans une équipe
« gagnante » au lieu d’essayer de comprendre
le problème par soi-même, sera toujours présente.
Au mieux, la communauté scientifique profite de nos
meilleures intuitions et de nos désirs tout en nous
protégeant des pires de nos impulsions. »
Page
450 : « On a besoin de jeunes chercheurs, ayant le
courage, l’imagination et la profondeur conceptuelle
pour initier des directions nouvelles.
Comment peut-on trouver et soutenir ce type scientifiques,
au lieu de les décourager comme on la fait jusqu’à
ce jour ? »
«
Depuis trente ans, il ne se passe rien dans ce domaine,
estime le chercheur canadien. Le remède : recruter
des physiciens qui osent s’attaquer aux questions
fondamentales.(…). Les physiciens sont bons, ils font
leur travail. Certains cas particuliers ont été
résolus, seulement nous n’avons guère
avancé dans notre compréhension profonde de
la nature. (…).
Il faut changer de style, favoriser la diversité
des points de vue et des idées en recrutant des chercheurs
originaux, qui s’attaquent aux questions fondamentales.
(…). Au niveau européen, la création
récente du Conseil européen de la recherche,
qui finance des jeunes sur leur propres idées, est
une bonne initiative. Propos recueillis par David Larousserie
»[ 5 ]
REFERENCES
1)
Mario Cosentino : « Origine et destin de notre Univers
par une nouvelle Cosmologie De l’atome jusqu’aux
confins du Cosmos », Conversation avec Pierre Bourge,
1993, Edition Bonnefoy-Imprimeur-Editeur.
2) Mario Cosentino : « Le New Big-Bang SYNTHESE DES
MODELES COSMOLOGIQUES ACTUELS » Prologue de Bernard
Milet (Astronome, ancien membre de l’Union Astronomique
International (UAI) ), Apolline, Editions Chiron,
3) Sciences & Vie Avril 2006, page 67.
4) Lee Smolin : « Rien ne va plus en physique ! L’échec
de la théorie des cordes" Préface d’Alain
Connes, Dunod, 2007.
5) Sciences et Avenir - Juin 2007.