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ACTUALITÉS
Le
rover MER-A (Spirit) est arrivé sans encombre sur Mars
CJ 04/01/04
MER-A
(Mars Expedition Rover), le robot d'exploration de la NASA
transporté par la sonde Spirit lancée le 10
juin 2003, s'est posé comme prévu ce 4 janvier
sur la surface de Mars, au coeur du cratère Gusev.
Les premières images transmises de son environnement
(voir panorama ci-dessous) confirment que tout s'est bien
déroulé. Le robot doit y mener une mission géologique
d'au moins trois mois. D'ici quatre jours, après avoir
fourni nombre de clichés*, il partira en reconnaissance
autour de son site
d'atterrissage.
Objectif de la mission
: déterminer
si les traits géologiques qui caractérisent
le cratère Gusev - couches stratifiées - sont
bien des dépôts sédimentaires dus à
la présence prolongée deau liquide en
son sein. Les spécialistes pensent en effet que le
site a pu être alimenté en eau pendant des millions
dannées par le fleuve censé courir au
fond de la vallée Maadim.
Gusev, dont le diamètre avoisine les 145 km, aurait
été formé il y a trois ou quatre milliards
dannées par la chute dun astéroïde
vers le sud de léquateur martien.
Au-delà du témoignage de cette présence
d eau, cest naturellement un environnement propice
à lapparition de la vie qui est recherché.
Outre dresser un panorama de son environnement avec un luxe
de détails jamais atteints et se déplacer vers
les endroits les plus intéressants, le robot sera notamment
capable de décaper la roche superficielle des échantillons
quil examinera afin davoir accès à
des minéraux préservés des rayonnements
qui baignent la surface martienne : si Gusev a été
le berceau dun lac géant, certains minéraux
spécifiques sont encore susceptibles de se trouver
dans les roches.

Premier panorama martien transmis par le robot
© JPL/NASA
Cliquez sur la photo pour l'agrandir
La réussite de la sonde Spirit
est dexcellent augure pour la sonde Opportunity,
partie de la Terre le 7 juillet dernier avec à
son bord le robot MER-B, et qui doit rejoindre le sol
martien le 25 janvier prochain du côté
de Terra Meridiani.
|

Photo prise immédiatement après l'atterrissage,
lors du déploiement du pétale arrière
(en haut) © JPL/NASA
|
L'europe est moins chanceuse avec la sonde Mars Express :
si celle-ci s'est mise impeccablement en orbite autour de
Mars et pourra réaliser de nombreuses analyses, on
est toujours sans nouvelle du robot Beagle 2 censé
sêtre posé à la surface le 25 décembre
dernier et qui reste désespérément muet
à ce jour.
*
C'est la première fois que des
images de la planète rouge sont prises en stéréoscopie,
procédé qui permet d'obtenir une impression
de relief et davantage de profondeur de champ, ce qui permettra
aux scientifiques de repérer encore plus précisément
les zones à explorer.
Pour en savoir plus
Site Futura Sciences (en français),
partenaire d'Automates Intelligents :
http://www.futura-sciences.com et
http://orbitmars.futura-sciences.com
Site de
la Nasa : http://marsrovers.jpl.nasa.gov/home
Nos actualités
du 1er
juillet 2003 et du 18
janvier 2003
Faisabilité
des assembleurs moléculaires (MNT)
JPB 23/12/03
Il faut connaître en Europe
la polémique Drexler-Smalley concernant la faisabilité
des assembleurs moléculaires (molecular nanotechnology,
ou MNT) visant à obtenir des entités auto-réplicatives
sur le mode biologique (ce à quoi fait allusion le
roman de Michaël Chrichton, The Prey [voir
notre actualité du 7 novembre]). Il s'agit d'un
stade de mise en oeuvre des nanotechnologies dépassant
largement, aussi bien en perspectives pratiques qu'en dangers
potentiels, les nanotechnologies consacrées à
la fabrication de produits industriels "classiques",
tels les nanotubes de carbone. Ces dernières font l'objet
de plans plus ou moins ambitieux de recherche-développement.
Mais elles restent dans des domaines accessibles aux technologies
d'aujourd'hui. Il n'en est pas de même des MNT. Le père
des nanotechnologies, Eric Drexler, s'est vu contester la
faisabilité, aujourd'hui, de réaliser de telles
entités, pourtant soutenues fortement par le Foresight
Institue avec lequel travaille Drexler. A la tête de
cette contestation se trouve le prix Nobel de Chimie 1996
Richard Smalley (découverte des fullerènes).
Le débat n'est pas qu'académique, car il concerne
aussi la destination des financements décidés
par les pouvoirs publics dans les divers plans Nanotechnologies.
Les industriels du secteur ne souhaitent pas, publiquement
au moins, voir ces crédits se disperser dans des recherches
à finalité trop lointaine.
Cependant, la politique américaine
concernant les nanotechnologies fait l'objet d'une telle opacité
que toutes les rumeurs peuvent se répandre, aux Etats-Unis
même. Les recherches se limitent-elles à ce qu'annoncent
et financent les administrations civiles, ou n'ont-elles pas
déjà été entreprises dans le domaine
des nanotechnologies moléculaires? Certains supposent
qu'en réalité le Pentagone aurait mis au point
un plan visant à développer ces dernières
dans le secret, comme ce fut le cas jadis du Programme Manhattan
relatif aux armements atomiques, qui ne fut connu qu'une fois
les résultats visés obtenus.
Pour en savoir plus
Article du Center for responsible nanotechnologies
: http://crnano.org/Debate.htm
Article concernant directement la controverse
Smalley-Drexler, du Chemical and Engineering News : http://pubs.acs.org/cen/coverstory/8148/8148counterpoint.html)
Sur ces questions, nous sommes heureux de signaler
l'étude présentée par notre confrère
Daniel Leloup, du bimestriel belge francophone Imagine (www.imagine-magazine.org)
-sur souscription.
Qrio,
seul robot au monde sachant courir
CJ
18/12/03
Il
y avait déjà la plate-forme japonaise humanoïde
HRP-2, seul robot au monde de taille humaine capable de se
coucher et de se relever.
Et désormais, toujours au Japon, on compte aujourd'hui
le seul robot autonome humanoïde au monde capable de
courir : Sony a dévoilé ce jour cet aspect de
son robot QRIO, petit bonhomme aux yeux bleus, haut de 58
cm et lourd de 7 kg. Même si la vitesse de ce coureur
n'est que de 14 mètres par minute (soit grosso-modo
5 fois inférieure à la marche d'un humain [mais
finalement de 2,4km/heure si on rapporte la taille du robot
à celle de l'humain]), ceci relève de l'exploit.
Le coût de ce prototype - que Sony n'a pas l'intention
de commercialiser pour l'instant* - reste secret. "Il
s'agit du premier robot pouvant courir au monde. Cela nous
a pris trois ans pour le fabriquer" a seulement indiqué
Daichi Yamafuji, porte-parole du géant japonais de
l'électronique.
*
Le modèle est simplement présenté afin
de tester les réactions du marché, ainsi que
montrer le savoir-faire de Sony
Pour
en savoir plus :
Sur HRP-P2 :
Notre
actualité du 2/12/2003
Sur Qrio :
Communiqué
de presse de Sony (en anglais) : http://www.sony.net/SonyInfo/News/Press/200312/03-060E/
Le site
de Qrio : http://www.sony.net/SonyInfo/QRIO/
Notre
actualité du 08/09/2003
La lumière
sous contrôle
CJ
12/12/03
Michal
Bajcsy et ses collègues du Luking Group (département
de physique de l'Université d'Harvard) ont réussi
à immobiliser des photons pendant quelques centièmes
de millisecondes.
En janvier 2001(voir
notre article), une autre équipe avait abouti à
un résultat comparable, mais par une méthode
différente.
Le travail publié aujourd'hui dans Nature s'appuie
sur le même principe* mais le dispositif intègre
ici un second laser, envoyé dans le sens opposé
au moment de restituer le flux de photons. Ces derniers sont
alors pris au piège entre les deux flux contraires
et se figent, sans altération de l'état quantique
ou perte d'énergie.
Si ces résultats ouvrent la voie à la manipulation
et au traitement de l'état d'un photon - avancée
qui concerne en premier lieu les secteurs de recherche en
cryptographie quantique ou celle du développement de
l'ordinateur quantique -, il faut rester prudent : "il
s'agit d'une étape (...). De nombreuses recherche additionnelles
sont nécessaires pour savoir si ces résultats
peuvent conduire à ces applications", indiquent
les chercheurs.
*
Un faisceau de lumière (impulsion laser) est envoyé
à travers un nuage d'atomes (ou de gaz), ce qui a pour
effet de ralentir la vitesse du faisceau tout en "imprimant"
les caractéristiques des photons dans ce nuage. Ces
caractéristiques sont ensuite restituées lorsqu'un
nouveau faisceau vient illuminer ce nuage. L'information quantique
peut donc ainsi être stockée et restituée.
Pour
en savoir plus
Nature n° 426 du 11 décembre 2003, pages 638-640
:
Stationary pulses of light in an atomic medium,
par M. Bajcsy, A. S. Zibrov, and M. D. Lukin.
Luking Group (optique quantique - Université de Harvard)
: http://lukin.physics.harvard.edu/
Notre article
"Piège à lumière, ou les premiers
pas vers les ordinateurs quantiques du futur?" (25/01/2001)
http://www.automatesintelligents.com/labo/2001/jan/lumiere.html
Contact
bajcsy@fas.harvard.edu
Du Téléthon
au Polluthon
JPB 10/12/03
Le président de l'Association française pour
la lutte contre les myopathies, organisatrice du Téléthon,
a eu des propos de bon sens sur France Inter, le 8 décembre.
Les promoteurs du Téléthon se sont félicités
du million d'euros reçus en dons. C'est une manne qu'il
ne faut pas assécher par des propos pessimistes. Ceci
dit, il a clairement expliqué ce que tout le monde
sait depuis longtemps. L'hypothèse, proposée
voici 30 ans par la biologie moléculaire, selon laquelle
il suffit d'identifier et neutraliser le gène responsable
d'une affection génétique, ne tient plus. On
découvre d'abord l'inextricable interaction des gènes
dans la production des phénotypes individuels, qu'ils
soient malades ou sains. Mais surtout, on s'est aperçu
(en partie il est vrai par des études financés
en France par le Téléthon), que bien d'autres
facteurs, notamment les polluants, étaient responsables
des mutations. Ce n'est plus alors de Téléthon
qu'il faudrait parler, mais de Polluthon.
Soit, mais il faut bien voir que
les enjeux changent. D'abord on ne pourra plus se livrer à
l'espèce d'escroquerie morale consistant à faire
miroiter aux enfants malades, comme aux donateurs, des guérisons
rapides. De plus, situer les recherches sur le terrain de
la pollution amène à affronter de plein fouet
les industriels du tabac, de l'alcool et autres produits chimiques.
Osera-t-on le faire ? Enfin, il faut être réaliste.
Les bénéficiaires actuels des 100 millions de
dons demanderont sans doute que rien ne soit changé
aux modalités d'appels à la générosité
publique.
Dernier point, qui n'est pas le moindre. Etudier l'effet des
milliers de polluants que nous absorbons n'est pas une mince
affaire. Ce ne sont plus cent millions d'euros qui seraient
nécessaires mais au bas mot 1 milliard. De telles études
conduisent d'ailleurs à renverser des idées
toutes faites. Les anthropologues ont constaté que
les peuplades faisant leur cuisine avec des produits résidus
de la bio-masse, tant vantée par les écologistes,
s'empoisonnaient aussi sûrement que nous, s'ils ne disposaient
pas de ventilations forcées. (Voir NewScientist, 6
décembre 2003, p. 22)
Plutôt que parler de Téléthon, mieux vaudrait,
une fois de plus, dénoncer l'hypocrisie de certains
pays européens, dont la France. Pour se concilier les
autorités religieuses, l'utilisation de tissus provenant
de cellules -souches multi-potentes (pouvant provenir d'embryons,
mais d'embryons de quelques jours destinés à
la destruction) reste pratiquement interdite. Il en est de
même du clonage thérapeutique expérimental,
permettant de mieux comprendre la machinerie de la reproduction
et de l'immuno-défense cellulaire. Quand on sait les
centaines de maladies qui pourraient être mieux étudiées,
voire soignées par de telle recherches, on ne peut
que s'indigner de la Bio-éthique à la française.
Renewed
U.S. space dominance
JPB 09/12/03 Source :
http://www.france-science.org/usa-espace
Les
premières informations sur la nouvelle vision spatiale
américaine civile commencent à filtrer. Le président
devrait insister sur deux points : utiliser la Lune pour développer
les technologies spatiales et renforcer le partenariat entre
la NASA et le Department of Defense (DoD).
L'administrateur de la NASA, Sean
O'Keefe, présentera en 2004 une nouvelle feuille de
route intitulée " Renewed U.S. space dominance
". Sean O'Keefe a essayé de construire un consensus
parmi tous les acteurs du spatial américain et le renvoi
d'astronautes américains sur la Lune avant 2020 semble
être devenu par défaut le projet le moins cher
et le moins risqué à le programme spatial américain.
Georges W Bush devrait appeler pour un renouveau de l'exploration
spatiale du système Terre-Lune : vol habité
vers la Lune, utilisation de lanceurs commerciaux, lancement
de nouvelles sondes lunaires robotiques
incluant des satellites de communications et de navigation,
et le développement d'un véhicule spatial flexible
qui sera vraisemblablement l'OSP (Orbital Space Plane). Le
président ne proposera aucun développement de
nouveau lanceur dernier cri, ni de
véhicules spatiaux géants ni de nouvelles navettes
réutilisables.
Au final, une base lunaire pourrait
être créée. Le président devrait
insister sur le développement de nouvelles technologies
spatiales qui relancerait l'industrie, l'utilisation militaire
de l'espace ainsi que le nouveau moteur nucléaire du
projet Prometheus. La navette spatiale américaine jouera
un rôle important en tant que lanceur lourd
automatique (inhabité !) au coté des fusées
Atlas 5 et Delta 4.
Le budget de la NASA ne devrait
pas augmenter de plus de 7% par an à partir de 2006.
Une série d'options a été examinée
pour libérer des budgets pour le vol habité.
Il a été proposé que la NASA transfère
ses programmes de recherche en aéronautique et en science
de
la Terre à d'autres agences fédérales.
Sean O'Keefe devrait créer un nouveau directorat, dénommé
Code-X, en charge de l'exploration et qui serait dirigé
par un ancien amiral. Bien que ce nouveau plan soit en grande
partie le travail de Sean O'Keefe, il reste lui-même
sceptique sur la nécessité de continuer le vol
habité. La Maison Blanche, de son coté, écarte
les rumeurs d'une annonce prochaine par le président
Bush concernant la reprise de l'exploration humaine de la
Lune. Les lobbies de l'espace sont moins affirmatifs. Si un
Chinois y va (ou se prépare à y aller) il faudra
qu'un américain y retourne
Pour en savoir plus
Article
http://www.spaceref.com/news/viewnews.html?id=902
Exploiter
au mieux l'information pertinente
CJ 09/12/03
Après
son résumeur automatique de texte multilingue* (douze
langues), assez exceptionnel, la start-up française
Pertinence Mining propose aujourd'hui le Pertinence Information
Network (PIN).
Cette plate-forme de collecte, traitement, diffusion ciblée
et exploitation de l'information permet à tout un chacun
de recevoir par e-mail une alerte (NewsAlert) - à fréquence
fixée et sous forme de lettre d'information - qui recense
les derniers articles pertinents** publiés sur le web
en relation avec ses centres d'intérêt.
Pour cela il aura préalablement suffi à l'internaute
de choisir la (ou les) langue(s) (parmi les douze disponibles)
qui l'intéresse(nt), les mots-clés (mots, noms
propres, expressions, citations, phrases...) en rapport avec
ses centres d'intérêts et les sources d'information
consultées [parmi plusieurs milliers]. Celles-ci peuvent
concerner l'édition classique (médias et grands
journaux, communiqués de presse, dépêches)
comme de nombreux sites (par exemples de chercheurs et de
laboratoires***) ou mêmes de particuliers délivrant
des news et s'étant fait connaître auprès
de la société Pertinence (inscription soumise
à contrôle).
Tous
les documents composant la NewsAlert sont accompagnés
de quelques lignes [résumé automatique statique
prédéfini par l'utilisateur (voir image)].
Après avoir cliqué sur l'article en question,
il est aussi possible d'en obtenir un résumé
(longueur paramétrable) obtenu automatiquement
en dynamique. Les phrases les plus importantes sont surlignées
en bleu foncé, le degradé de couleur montrant
les phrases de moins en moins importantes.
|
Exemple
d'une des arlertes que l'équipe Automates Intelligents
reçoit chaque jour
(cliquer sur l'image pour l'agrandir)

La
veille effectuée ici sur l'IA concerne des
sites de langue anglaise (NB : la liste des résultats
est en fait bien plus longue que présentée
ici sur l'image (qui ne tiendrait pas sur l'écran),
car s'appuyant sur de nombreux mots clés (IA,
artificial life, cognitive systems, cyborg, robot(s),
technology, computer science...).
|
D'autres
fonctionnalités sont disponibles sur la plate-forme
PIN, qui vise aussi bien l'Internet que les intranets des
entreprises, et que nous ne détaillerons pas ici. Objectif
: mettre à la disposition des clients des technologies
leur permettant d'exploiter au mieux l'information pertinente
disponible, passer moins de temps à chercher et davantage
à exploiter.
Fondée
en 2002 par deux jeunes scientifiques français, Abderrafih
Lehmam (docteur en linguistique informatique) et Philippe
Bouvet (ingénieur en informatique spécialisé
en IA et en recherche opérationnelle), Pertinence mining
s'appuie sur la technologie KENiA® (Knowledge Extraction
and Notification Architecture) développée par
les deux experts. Tout est parti d'un prototype innovant de
résumeur automatique de texte réalisé
durant la thèse de doctorat d'A. Lehman (RAFI :
Résumé Automatique par Fragments Indicateur),
dont les fondements sont d'ordre linguistique liés
à l'analyse du discours.
* Pertinence
Summarizer traite divers formats de documents tels que HTML,
PDF, RTF, DOC, TXT... Parmi les douze langues possibles figurent
notamment le japonais, le chinois, le coréen, l'arabe
et le russe.
** Textes pertinents car reposant sur un véritable
traitement linguistique du contenu.
*** A la demande d'Automates Intelligents, qui en avait fait
la requête auprès des créateurs de Pertinence,
le système intègre désormais (pour le
moment uniquement en Anglais) des sources d'informations plus
particulièrement dédiées au domaine de
l'IA et des robots (choisir dans l'arborescence des sources,
le dossier ENGLISH > Computer - Technology > AI - Robots).
Un dossier spécifique pour le français, qui
inclura notamment des données du site automates intelligents,
sera prochainement disponible.
Pour
en savoir plus
Pertinence
mining : http://www.pertinence.net/
Tester Pertinence Summarizer, résumeur automatique
de texte : http://www.pertinence.net/ps/index.html
Bénéficier
durant un mois du Pertinence Information Network (gratuit)
: http://www.pertinence.net/pin/
Contact
contact@pertinence.net
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